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 [Chronique] le pèlerin

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le pèler
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MessageSujet: [Chronique] le pèlerin   [Chronique] le pèlerin EmptyJeu 9 Fév - 17:58

Au beau milieu d’une forêt vit un homme, personne ne sait réellement qui il est, on ne sait de lui que c’est un ancien chevalier qui a fait défaut à son ordre en pratiquant la magie. Nombres de villageois ont tentés de ramener cet exilé, que tout le monde appelle le pèlerin blanc à cause de sa tunique et de sa pèlerine blanche, dans le petit village qui borde la forêt, ils sont tous revenus sans personne à leur côté et ils racontent que l’homme reste assis devant un feu, il ne prend même pas la peine de les regarder ou de leur dire bonjour, il ne bouge pas, mais ils racontaient aussi que cette petite hutte qui paraissait vraiment petite et pauvre de l’extérieur était vraiment luxueuse en son intérieur. Tout le monde raconte qu’à l’intérieur de cette maison on peut y trouver tout le confort qui est nécessaire à une vie, même la personne la plus riche de la vallée, un vieux chevalier fanatique qui récolte les richesses tout autour de lui pour son dieu, ne bénéficie pas de tant de confort.

Le pèlerin était sans cesse au cœur des conversations, c’était un jeune homme qui gardait toujours le regard pensif, les villageois lui donnaient entre 25 et 30 ans mais ils ne pouvaient pas être plus précis.

Un jour, pourtant, le vieux chevalier passa accompagné de deux de ses gardes dans le village pour récupérer les impôts comme à chaque semestre, quand il entendit parler du pèlerin. Celui-ci décida donc d’aller jeter un œil dans cette hutte et d’y récolter se que tout le monde lui devait. Lorsqu’il arriva sur place quel fut son étonnement lorsqu’il vit cette petite bâtisse de l’extérieur renfermer autant de richesses, car effectivement un meuble en bois sculpté sur un des côtés renfermait des coupes d’or sur lesquelles sont incrustés des saphirs. En tournant la tête de gauche à droite il vit que les saphirs occupaient une grande partie de cette maison, en effet sur un des murs, était accroché une épée longue avec une lame fine en argent et un pommeau doré incrusté, tout comme les coupes, de saphir.

Le vieux chevalier n’en croyait pas ses yeux, de plus il était habitué à ce que les gens le craignent et le respectent, mais l’homme qui était assis dans un grand fauteuil de cuir ne daigna pas bouger pour lui adresser un salut. Cela offusqua le vieil homme qui ordonna à ses gardes de saisir le pèlerin pour lui montrer le respect. Ils tentèrent de le rattraper mais ils ne saisirent que un brouillard, soudain une voie venant de derrière eux les fit sursauter. Le pèlerin se tenait debout à l’entrée regardant fixement le chevalier.

Le pèlerin : puis-je savoir ce que vous venez faire ici chevalier ? Et de quel droit vous venez m’importuner dans ma petite vie paisible.

Le chevalier n’en revint pas, habituellement c’était lui qui posait les questions et pis quel droit avait cet homme sur ses terres.

Le chevalier : Mon nom est Galior et je suis le seigneur de cette vallée, tout ce qui pousse ici et toute personne vivant sur ces terres est sous mon autorité et me doit l’impôt. Etant donné que tu m’as l’air aisé, tu dois contribuer davantage à la protection de ce royaume, tu me dois donc 200 pièces d’or.

Le pèlerin se mit à rire.

Le pèlerin : parce que c’est vous le seigneur de ces terres ? Vous êtes bien marrant seigneur Galior, je ne suis pas un de ces villageois qui va vous donner ce que vous voulez juste parce que je vous crains, ce qui n’est déjà pas le cas. Je suis ici dans ma demeure, et si je suis sur vos terres alors qu’il en soit ainsi. Je ne contribuerai pas à votre fortune seigneur, je refuse donc de payer votre impôt.

Le chevalier devint rouge, personne, jamais avait refuser de payer, il ordonna donc à ses hommes de tuer le pèlerin. Ceux-ci hésitèrent, après tout ils avaient affaire à un mage, lorsque leur seigneur sa grosse épée à deux mains pour les menacer ils prirent tout deux leur hallebarde et chargèrent le mage. Au moment où ceux-ci arrivèrent sur lui il tendit les mains comme pour les arrêter, mais une sphère de glace se forma autour de lui.

Le pèlerin : je vous averti seigneur Galior, partez d’ici ou je me devrai de vous montrer qui je suis réellement.

Il regarda sévèrement le chevalier et d’un geste fit disparaître le bouclier de glace tout en envoyant les deux soldats contre un mur de sa maison dans un grand courrant d’air. Le chevalier se retrouvait seul face au mage.

La chevalier : il est temps maintenant que je sévisse magicien, cela fait bien longtemps que je n’ai pas fait la guerre face à des gens de ton espèce.

Le chevalier enleva son grand manteau pourpre sous lequel on pu découvrir une grosse armure noire. Une aura rougeâtre se forma autour du chevalier. Pendant se temps le pèlerin attira d’un geste son épée et on vit la lame qui commença à briller. Le pèlerin enchantait son arme désormais un mélange de flammes et de cristaux tournaient autour de la lame.

La pèlerin : je n’aime pas en venir là messire, mais si je le dois alors je le ferai.

Le pèlerin pointa un indexe d’ou sortit un long éclair blanchâtre sur le chevalier qui l’esquiva et chargea l’épée en avant, puis au dernier moment il la dirigea vers le bas, mais quelque chose le fit tomber. Le chevalier regarda à terre et vit qu’un petit muret de terre s’était interposé entre lui et le mage. Le pèlerin se mit à rire. Le combat continua ainsi pendant quelques temps, le mage n’avait pourtant pas bougé d’un poile. Il ne faisait que contrer les coups du chevalier. Celui-ci commençait à fatiguer.

Le pèlerin : il est temps que nous en finissions seigneur.

Le pèlerin fit sortir une boule de glace de sa main autour de laquelle tournait des piques, il l’envoya sur le chevalier qui la prit de plein fouet, il tomba sur le dos. Les deux soldats qui participaient au combat regardèrent le cadavre de leur maître par terre puis le pèlerin, celui-ci s’adressa à eux.

Le pèlerin : il est temps pour vous que votre seigneur passe la main, ramenez sa dépouille dans sa demeure et trouvez un maître digne de ce nom. Ma tâche ici est finie, il est temps pour moi de partir. Je vous demande de répartir ce qui se trouve dans cette maison aux gens du village vous ne me verrez plus jamais ici.

Le pèlerin leur tourna le dos et disparut dans la forêt, son chemin désormais le mènera dans une école de magie ou il pourra enseigner ce qu’il sait à de jeunes mages, à contrôler leurs pouvoirs.
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