Maze était né sur la douce terre d'Okvale. N'ayant connu ni son père, ni sa mère, il fut éduqué par un vieil homme, lui aussi sorcier.
A Okvale, il n'y avait que des Humains, ce pourquoi il sortait peu et n'utilisait jamais ses pouvoirs en public.
Etant donné la nature de la race des êtres d'Okvale, le vieil homme était obligé de Travailler, pour pouvoir vivre, en tant que Tanneur.
L'enfance du jeune sorcier fut difficile. Même si c'était l'un des meilleurs élèves de sa classe, il avait peu d'amis et il restait distant avec les autres enfants. Ces mêmes enfants qui l'insultaient, le battaient, ce qui lui valait souvent une visite chez le directeur. De nombreuses fois, le jeune élève rentrait en pleurs de l'école. Le vieil homme essayait tant bien que mal de le réconforter mais aucune réponse, aucun argument n'auraient pu le satisfaire.
Un jour, une petite fille alla le voir, dans un coin de l'école. Il connaissait bien cette fillette; elle vivait dans les quartiers pauvres. Maze avait de la compassion pour elle, ainsi, il lui donna de quoi se nourrir.
Ce jour là, en sortant d'une de ces journées de routine à l'école, il vit un de ces enfants qui frapper cette fillette et lui voler l'argent que lui avait remis Maze.
Maze avait honte pour cet personne, comment un être si petit pouvait être aussi maléfique. Puis le garçon en question poussa la fillette dont la tête heurta une pierre. Cette fois la, ce fut de trop.
Maze resserra son point, ses yeux couleurs noisettes tournèrent au blanc, le sol craqua sous ses pieds. Une aura blanche l'entoura.
Le vieil homme resté à la maison sentit la force spirituelle de Maze augmentait à un point que même lui n'aurait pu l'arrêter.
Maze disparut puis réapparut non pas à côté du garçon mais à côtés de la fillette. Il plaça ses mains au dessus d'elle..... Mais rien ni fait, elle était belle et bien morte.
Une larme glissa au coin de l'oeil de Maze, passant de la joue au creux des lèvres.
Le jeune garçon était stupéfait, et réalisait enfin son geste.
Il s'excusa et rendit l'argent à Maze, mais même cette action n'effacerait pas les remords.....
Le lendemain, le garçon avait écrit une lettre avant de se suicider expliquant à quel point ses regrets le hantaient.
Après sa démonstration de vitesse ce jour là, plus personne ne lui adressait la parole, ni même le regardait. Il était même interdit de l'école en tant que Sorcier. On lui reprochait la mort de cette fillette.
Le vieil homme, lui servit alors, en plus de maître, de professeur aguerri.
L'adolescence du jeune sorcier se déroula sans contrainte. Le jour Maze aidait cet homme qui l'avait recueilli, le soir, il s'occupait du jardin et la nuit, il s'entraînait en tant que sorcier, à l'abri de tous.
Etant insomniaque, ce train de vie ne le gênait pas, il en était même plus que satisfait.
Le jour de ses 18 ans, le vieil homme l'envoya donner des peaux chez le Duc d'Okvale.
A son retour, le vieil homme avait disparu. Maze chercha partout en vain. Il se servi alors de sa force spirituelle pour le retrouvé. Rien, aucune trace......il était bel et bien mort.
Quelques jours plus tard, alors que Maze était resté immobile, à prier, sans manger, sans boire, un jeune homme lui amena une lettre. Il y était écrit le nom de la personne qui avait tué ce vieil homme, la façon dont il avait été tué et l'endroit où se trouvait le corps (il était effectivement bien là.) Maze se mis alors en quête de vengeance et partit pour le royaume de Camelot où se trouvait cette ombre.
Maze ne connaissait pas la route menant au royaume de Camelot, mais le destin le guiderait.
Ainsi, en sortant du village, une feuille tombée d’un arbre virevolta jusqu’à un panneau qui indiquait Alcotraz. Le sorcier souria et se rendit jusqu’à ce village. Bien qu’il n’avait en aucun cas besoin de dormir, il devait se nourrir, certes de peu, mais qui lui était vitale. Afin de se nourrir, il s’acquittait de petite tâche, tour à tour aidant un paysan à récolter les fruits de son dur labeur, ou à chercher le petit fils disparut d’une vieille dame.
Au cour d’un de ces travaux, qui consistait à retrouver le chat perdu d’une petite fille, il tomba nez à nez avec une bande de bandits de grand chemin.
Naturellement, ces derniers ne connaissaient pas la nature du jeune homme qui se présentait face à eux, et ils lui demandèrent sa bourse.
Cette bourse représentait des heures de travail, en échange de seulement deux ou trois écus.
Ils devaient être tout au plus trois ou quatre, Maze aurait pu en venir à bout facilement mais il détestait faire preuve de violence.
Je vous prie de bien vouloir me laisser passer s’il vous plait. Je ne suis qu’un paysan, je n’ai pas d’argent.
Il eu à peine fini son discours que l’un des bandits se jeta sur lui avec sa dague. Ce dernier arriva face à Maze et fut pétrifier par son regard. Il leva sa dague et s’enfonça la lame froide et dure à même le corps.
Ses compagnons, surpris de cet acte sortirent masse et épée.
Le deuxième s’avança avec moi de sûreté que le premier mais tout aussi méchamment ; au simple contact de la paume de main du jeune sorcier, il périt, lançant un terrible cri d’agonie.
Lorsque le troisième voulu s’échapper, Maze apparut devant lui, il venait d’utiliser le shunpo, art ancestral consistant à se déplacer en un instant sur un lien spirituel.
Il posa sa main sur la tête du bandits et lança simplement : Pardonne moi.
Il se retourna, le bandit était là, stupéfait de sa réaction. Il voulut profiter de l’occasion pour l’attaquer mais dès qu’il eut sortie son arme, il sentit quelque chose bouger en son ventre. Il jeta un œil en arrière et vit le jeune sorcier, la main planter dans son abdomen.
Une fois cette bataille terminée, Maze reprit sa route au grés du vent. Il rencontra plus loin un homme d’une cinquantaine d’année, ce dernier lui fit vent de bandits de grand chemin attaquant les pauvres et les démunis.
Le sorcier esquissa un sourire et lui expliqua son épopée. Pour le remercier, le paysan, qui était en faite un forgeron, lui remis un zanpakuto, une sorte de lance qui pouvait se diviser en trois pour former un nunchaku à trois branches. Maze le pris mais cassa la lame, ne laissant place que au bâton divisible en trois. Le paysan fit courir l’histoire de la bataille opposant Maze à ces bandits. Les gens du village le surnommèrent, le Lotus blanc……
Lorsqu’il eut dépasser la cité de Alcatroz, Maze fut accosté par un jeune homme. Ce dernier était armé d’un bâton, non semblable au sien. Il lut dans le regard du jeune homme, une grande haine ainsi qu’une grande tristesse. Il s’appelait Artefact.
Artefact écouta l’histoire de Maze et lui indiqua la route d’une école de Magie prestigieuse, dirigée par une certaine Aiphilia, Dame des roses. La quête de Maze prit alors un tournant ; il se devait d’intégrer cette prestigieuse école, pour devenir plus fort, pour la mémoire du vieil homme.
Il ne lui restait que quelques lieues à parcourir avant d’atteindre l’école lorsqu’il vit, au loin, un adolescents au prise avec quatre ombres. Il courut pour allez le secourir lorsqu’un éclair blanc apparut des mains du jeune homme et terrassa les ombres qui diparurent aussitôt.
Maze vit alors le jeune homme disparaître et il entendu une voix derrière lui, lui demanda s’il voulait lui aussi se battre.
Tu es fort certes, mais ne soit pas impétueux jeune homme.
Et le jeune homme sentit une forte puissance et s’évanoui. Lorsqu’il se réveilla, Maze lui raconta son histoire. Le jeune homme fut surpris
Un sorcier… ??? Moi aussi j’en suis un. Alors comme sa tu va à l’Ecole de Magie ??? Moi je me rends à l’Armée sorcière pour postuler.
Il firent une partie du chemin ensemble jusqu’à ce que deux panneaux les séparèrent.
Requiem arriva à L’armée sorcière et Maze à L’Ecole de Magie.
